lundi 13 août 2012

Le microlotissement ou l'art d'accomoder les modes de vie bi-générationelle

 «Not in my backyard!» disent trop souvent les opposants à la densification urbaine. Le phénomène est connu et constitue souvent la bête noire des planificateurs urbains.  Mais on sent tranquillement un renversement de la tendance.  Qu'il soit question de microlotissement ou de densification douce, on observe de plus en plus un assouplissement des normes réglementaires d'urbanisme afin de faciliter la construction d'un logement d'appoint sur un terrain.  Cette tendance s'explique en partie par une volonté grandissante des ménages d'adopter une mode de vie bi-générationelle; le logement d'appoint pouvant servir ainsi à loger les grands-parents en perte d'autonomie ou le «tanguy».  De plus, il peut s'agir dans certains cas d'une option pour les premier acheteurs de financer une résidence plus grosse dans les premières années de son occupation.

En France, le mouvement prend de l'ampleur et promu par l'organisation «BIMBY».  La démarche de cet organisme se résume ainsi :


Quelques références ...

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