Fascinant reportage aujourd'hui dans La Presse : «La famille nucléaire disparaît, surtout au Québec.».
Les analyses des données du recensement de 2011 commencent à sortir et certaines d'entre-elles amènent à réfléchir. Celle-ci sur la composition des cellules familiales est fascinante. En tant qu'urbanistes, et aussi pour nos amis architectes, il faudra certainement tenir compte de cette mouvance socio-démographique majeure dans nos réflexions sur l'habitat et les milieux de vie.
Lisez l'article attentivement et consultez les liens PDF.
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